Son enseignement était un voyage à travers les époques et les idées, une exploration des grandes questions qui ont traversé l'humanité.
Je me souviens d'un jour où il nous a parlé de l'importance de l'Histoire, non pas comme une simple érudition, mais comme un outil pour comprendre notre présent, nos erreurs, nos progrès. Il nous a montré comment les échos du passé résonnent encore dans notre société, comment ils éclairent nos propres débats et nos propres choix.Son humour était fin, subtil, parfois ironique, mais jamais méchant. Il savait faire rire, mais aussi réfléchir, poser un regard neuf sur les choses.
Je me souviens d'un autre jour où il nous a parlé de la littérature, de sa capacité à nous émouvoir, à nous ouvrir à d'autres mondes, à nous faire grandir en tant qu'êtres humains. Il nous a montré comment les mots pouvaient être des armes, certes, mais aussi des outils de libération, de beauté et de liberté.François Sureau était plus qu'un professeur, c'était un éveilleur d'esprits, un passeur de connaissances et d'émotions.
Aujourd'hui, alors que je poursuis mon propre chemin, je me sens profondément reconnaissant pour la chance que j'ai eue de croiser son chemin. Il m'a donné le goût de l'apprentissage, de la culture, de la réflexion. Il m'a montré que le monde était vaste et passionnant, qu'il y avait toujours quelque chose de nouveau à découvrir, à apprendre, à vivre.Merci, François Sureau, pour tout ce que vous m'avez apporté. Vous resterez à jamais une source d'inspiration et un exemple pour moi.
Et pour ceux qui se demandent pourquoi je ressens une telle affection pour François Sureau, voici une petite anecdote :François Sureau était un homme unique, un professeur exceptionnel, un écrivain talentueux. Il nous manquera beaucoup.