Baptiste Planckaert :  Je ne suis pas l’héritier de Freddy 




Son nom : Planckaert. La pêche : le cyclisme. Le scénario était tout tracé : Baptiste allait devenir un grand coureur comme son père, Freddy. Celui qui a disputé le maillot jaune sur le Tour de France. Mais s’il partage la passion familiale, Baptiste s’est trouvé une autre voie : le journalisme.

Baptiste Planckaert s’est fait un nom dans le monde du cyclisme grâce à son père Freddy : « C’est vrai que ça m’a ouvert les portes mais je ne suis pas son héritier ». Aujourd’hui, il est l’un des commentateurs les plus appréciés du petit écran. Avec sa verve et son humour, il rend le cyclisme accessible à tous.

Mais pour en arriver là, Baptiste a dû faire ses preuves. Après des études de journalisme, il a débuté sa carrière à la télévision locale. C’est là qu’il a rencontré Jean-Paul Ollivier, qui l’a pris sous son aile. Ensemble, ils ont commenté de nombreuses courses cyclistes et ont formé un duo inoubliable.

Aujourd’hui, Baptiste Planckaert est un journaliste reconnu et respecté. Il a commenté les plus grandes courses cyclistes du monde, du Tour de France aux championnats du monde. Il est également l’auteur de plusieurs livres sur le cyclisme.

Mais malgré son succès, Baptiste Planckaert reste un homme simple et accessible. Il aime partager sa passion avec les autres et donner son avis sur l’actualité du cyclisme. C’est ce qui le rend si apprécié du public.

Sa vie privée

Baptiste Planckaert est  marié et père de deux enfants. Il vit à Cappelle-la-Grande, dans le Nord. Il est passionné de musique et de lecture. Il aime également faire du vélo et sortir avec ses amis.

Ses projets

Baptiste Planckaert a de nombreux projets pour les années à venir. Il souhaite continuer à commenter les courses cyclistes et à écrire des livres. Il a également l’ambition de lancer sa propre émission de télévision.

Baptiste Planckaert est un homme passionné et talentueux. Il est l’un des journalistes les plus appréciés du monde du cyclisme. Et il est bien parti pour continuer à faire parler de lui pendant de nombreuses années.

Son plus beau souvenir
« Mon plus beau souvenir, c’est quand j’ai commenté la victoire de Greg Van Avermaet sur Paris-Roubaix en 2017. C’était un moment magique. J’ai ressenti une émotion très forte. C’était comme si j’avais gagné moi-même. »
Son pire souvenir
« Mon pire souvenir, c’est quand j’ai appris la mort de Michael Goolaerts en 2018. C’était un jeune coureur plein de talent. Sa mort a été un choc pour tout le monde du cyclisme. »
Son message aux jeunes
« Aux jeunes qui rêvent de devenir journalistes sportifs, je leur dis de ne jamais abandonner. Il faut être passionné et travailleur. Il faut aussi savoir saisir les opportunités qui se présentent. Et surtout, il ne faut jamais oublier de s’amuser. »